vendredi 20 octobre 2017, par Paul Nève
Le coq de l’église de Celles avait été descendu il y a près de vingt ans car il menaçait de tomber. Un tout nouveau coq a retrouvé son perchoir, ce vendredi 20 octobre. Cela, au cours d’une cérémonie à laquelle participaient de très nombreux habitants de la localité.
La pose du coq cellois sur son perchoir situé à 42 mètres de hauteur, sur le clocher de l’église qui domine le village, a eu lieu environ un an après le lancement des travaux de réfection de l’église dont la durée totale est prévue pour deux ans. Un chantier dont le coût - 784 000 € - est en partie supporté par des subsides de la Région Wallonne (pour 475 590 €) - le reste étant à charge de la commune.
Une dépense certes importante pour la petite localité mais qui se justifie amplement, comme le soulignait la députée-bourgmestre Véronique Durenne dans son discours - par le fait que le monument du culte fait partie intégrante de l’histoire du village. Il a rythmé et continuera à le faire de très nombreux événements, heureux ou malheureux, intimement liés à l’histoire des habitants.
Ces derniers sont d’ailleurs venus en très grand nombre assister à la cérémonie organisée ce vendredi à l’occasion de la (re)pose du coq sur son perchoir. Cela, après une bénédiction assurée par les abbés Laurent Ruelle et Pierre-Célestin Simpunga.
Vous découvrirez tous les détails sur cette cérémonie dans l’édition de l’Avenir/le Courrier de l’Escaut de ce samedi 21 octobre, sous la plume d’Éloïse Speelers.
article écrit par Vincent Dubois et paru sur le site de Vers l’Avenir le 20 octobre 2017 à 17h26